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LES JOLIS PAS … Randonnez sympa !
9 novembre 2021

Le tour de la Plaine des Sables : dimanche 7 novembre 2021

Après un petit déjeuner rapide, nous démarrons la randonnée dans la Plaine des Sables (au niveau du premier parking à droite).

Nous empruntons le sentier balisé de la Rivière Langevin et Grand Galet.

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Nous obliquons à gauche pour grimper sur les pentes du Piton Chisny (2439 m).

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Du haut de ce premier piton nous admirons le décor minéral de la Plaine des Sables, avec ses scories, ses laves cordées ou plissées, le Piton de la Fournaise d'un côté, le Rempart des Sables de l'autre, le Plateau des Basaltes en face.

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Nous descendons (sur l'autre versant) du Piton Chisny.

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Nous traversons la RF et escaladons le deuxième piton, le Demi-Piton (2395 m), dont nous longeons lentement la crête.

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Nos yeux sont ébahis : le spectacle est magnifique.

Après la descente vers le Col Lacroix, nous quittons le GRR2 au niveau de la Griffe du Diable : direction l'aventure, loin des sentiers battus, vers le troisième piton, le Piton Haüy ( 2407 m).

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Vues surprenantes, inhabituelles, époustouflantes. Un univers exceptionnel !

Après u pique-nique, à l'ombre, nous grimpons vers l’oratoire Saint Thérèse.

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Nous rejoidrons le Pas des Sables en empruntant le sentier Mouton (descente).

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12 décembre 2021

Week-end à Mafate les 20 et 21 novembre 2021

Samedi 20 : Bord Martin - Aurère - Ilet à Malheur

 

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P1250508   Après avoir étanché notre soif, nous nous dirigeons vers Ilet à Malheur.

Une belle soirée nous attend au Gîte Libelle.

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 Dimanche 21 : Ilet à Malheur - Grand Place - 2 Bras - Rivière des Galets

 Ilet à Malheur : un joli petit village fleuri

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P1250537   un regroupement le temps d'une photo

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 Nous reprenons ntre randonnée. Direction La Plaque pour atteindre Ilet à Bourse.

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 Nous nous dirigeons maintenant vers Grand Place Ecole                     

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Ce week-end se termine par la traversée de La Rivière des Galets en 4x4.

Ce fut un très beau week-end même si nous avons un peu souffert de la chaleur..

12 décembre 2021

Rando REMPART et PITONS (PLAINE des CAFRES) le dimanche 5 décembre 2021

Une belle randonnée aux nombreux points de vue à travers la végétation d’altitude et les prairies.

Tout au long du Chemin des Pitons, une succession de paysages, de lumières et d’ambiances très différentes nous attend

 

Après un rapide petit déjeuner au Nez de Boeuf, nous nous dirigeons vers le Piton Textor en longeant le rempart de la Rivière du même nom.

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 Le Piton des Neiges au loin

 

 

 

               

                                          Mer de scories        

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A partir de là, nous alternons brume et soleil.

Piton Argamasse, sa mare et ... ses roses

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 De belles prairies fleuries

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Nous traversons ensuite ue belle forêt primaire : troncs recouverts de mousse et d'épiphyes. On ne s'en lasse pas.

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Maintenant c'est l'ascension du Piton Rouge

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 Quelques platanes nous abritents le temps du pique-nique

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   Encore une belle journée

 

 

 

 

 

25 janvier 2022

Rando CIDRE GALETTE : dimanche 9 janvier 2022

Jusqu'au dernier moment, nous avons hésité à faire cette sortie (nous attendions le discours du Préfet qui devait nous faire un point sur la crise sanitaire) et la météo n'annonçait rien de bon.

Nous avons quand même décidé de faire cette sortie malgré une météo menaçnate.

Nous  avons  donné rendez-vous aux adhérents sur le parking du lycée, dimanche matin, pour organiser un covoiturage.

 Nous rejoingnons la Forêt du Haut Monvert.

Nous empruntons la piste forestière qui nous mènera à La Mare.

Cette piste est agréable : large et très bien entretenue et bordée d'une végétation luxuriante.

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Juste avant la Mare, nous nous dirigeons vers un point de vue.

Dommage, la vue sur le littoral n'est pas parfaite.

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Nous sommes déçus par la mare. Nous avions l'habitude de la voir remplie d'eau et entourée d'arums.

 

 

 

Nous referons le chemin en sens inverse. Le brouillard commence à monter.

 

 Nous reprenons les voiture pour nous arrêter au sentier botanique de Notre dame de La Paix.

Le temps devient de plus en menaçant. Nous décidons de manger la galette et de boire le cidre de suite avant que le temps ne se gâte.

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Le roi et ses trois reines. Il ne peut même pas les serrer dans ses bras.

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Après ce moment convivial, nous décidons de faire le sentier botanique. Dans cette belle forêt primaire, nous faisons attention de ne pas glisser : les sentiers sont boueux et les racines traites. Aucunne vue sur la Rivière des Remparts du Belvédère mais ce fut tout de même un réel plaisir de faire cette promenade.

Ferdinand nous a ramené de belles photos.

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   Avant de reprendre les voitures, certains disutent ... Notre roi du jour profite pour faire une sieste.

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En ce début d'année, nous avons tous apprécié cette journée.

Nous ne savons pas quelles mesures sanitaires nous attendent demain.

25 janvier 2022

Rando BOUCLE DU BOIS DE NEFLES : dimanche 23 janvier 2022

Le bus a déposé les 23 marcheurs à l'Eglise des Canots. Cette randonnée, un peu sportive, présente 840m de dénivelé positif et 600 m en négatif, pour une distance de 10 km environ.

 

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Un regroupement rapide avant le départ

Nous démarrons avec le soleil. La troupe entame l'ascension d'un petit chemin goudronné puis bétonné  avant de trouver le sentier.

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 Le sentier est bordé de goyaviers et autes végétaux. Les longoses parfument l'air et les feuilles sont encore perlées avec la rosée.

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 Nous arrivons à un kiosque. Au delà du ravin, nous apercevons la route qui mène aux Makes et le village de Grand Serré. P1260026    X P1000855 vueX

Nous traversons une aire de pique-nique bien entretenu

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Le sentier continue à grimper. Il ne pleut pas mais la chaleur humide nous fait transpirer à grosses gouttes.

P1250924   P1250906  des champignons

 

   P1250901 C'est l'arbre qui marque l'intersection avec le chemin de la forêt.

Le sentier continue à grimper. Le senteir est escarpé et humide. Les bâtons ne sont pas un luxe. Il faut se méfier des racines et des pierres glissantes.

Nous arrivons à La Plaine Bois de Nèfles. L'endroit est paradisiaque : jardins aménagés, hortensias géants, géranium rosat ...

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X P1000874 hortensias X   X P1000882 bauhiniasX   X P1000877 habitations

René propose à ses compagnons des morceaux de canne bonbon.

canne bonbon rene   X P1000886 lieu habiteX

Le pique-nique est un temps de récupération et d'échanges. Moment précieux, et très convivial chez les Jolis Pas.

X P1000890 pique niqueX

 

Nous remontons vers le Le Piton Cabris. Il fait sombre sous les cryptomérias. 

Nous commençons la descente vers Le Tapage. Le brouillard nous empèche de porter notre regard au loin sur le littoral. La dernière demie-heure se fait sous une pluie fine. Il faut faire attention : de nombreuses marches  et  le sol est glissant. 

Nous terminons cette rando sur un sentier bordé de cannes et de champs de brède chouchou..

 

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2 avril 2022

CHEMIN DES ANGLAIS : dimanche 20 mars 2022

Encore une fois, la météo nous oblige à changer d'itinéraire. Il était prévu de gravir le Dolomieu ce jour mais vu les mauvaises conditions météorologiques dans la région du volcan, nous nous sommes dirgés vers le seul endroit de l'Ile où le soleil était annoncé : Le Nord ouest.

Nous avons décidé de faire le Chemin des Anglais : de la Possession à la Montagne.

Ce chemin pavé, appelé anciennement appelé Chemin Crémont, permettait de relier La possession à Sanint-Denis. Il a été réalisé au 18° siècle par l'ordonnateur Crémont.

En 1810, les Anglais débarqués à Saint-Paul, l'utilisent pour attaquer Saint-Denis. Depuis, ce chemin pavé est devenu le Chemin des Anglais.

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Le sentier pavé commence à grimper dès les premiers mètres.

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On a du malà imginer les pauvres boeufs en train de tirer une charette sur ces pavés.

Cette partie reste quelque peu ombragée.

plus loin, nous sommes à découvert. Nous admirons les points de vue sur le Port, La Possession.et la mer.

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La piste devient plus large avec une bande centrale. La pluie de ces derniers jours ont verdi un peu la piste.

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 Traversée de la ravine    P1260383

 

Nous traversons une zonr plate mais humide après les pluies de ces derniersjours

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P1260390   Le Belvédère  P1260392

P1260395  et c'est la descente vers la Grande Chaloupe

Nous passons devant Le Lazaret. Ce site servait de quartier d'isolement pour les malades, des engagés essentiellement indiens. A leur arrivée,ils étaient isolés pendant 10 jours.

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P1260399  Le cimetière   P1260401

Nous arrivons à la Grande Chaloupe, une ancienne gare ferroviaire.

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P1260409   P1260411 Camion et car courant d'air

Un groupe s'arrête ici. L'autre groupe repart à l'assaut des remparts de la Grde Chaloupe sous le soleil.

   . La montée est sérieuse jusqu'à l'oratoire  chemincremont23

Après le chemin est rectiligne et totalement à découvert.

La marche ça creuse l'apétit

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Quelle journée !

22 septembre 2022

Boucle Saline Bruniquel : 11 septembre 2022

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   Le rendez-vous a été donné sur le parking de la Plage de la Saline.

   Nous étions 28 marcheurs ce jour là.

 

 

 

 

Nous avons longé la plage en direction de Trou d'Eau.

 

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Après le rond point des "danseuses", nous empruntons une piste rocailleuse. La sécheresse sévit dans la région

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  Vue sur la mer

   Le sentier grimpe vers l'Aire du Tabac.

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Les chocas colorent un peu le sentier

Du street art sous les ponts      

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Vue sur le littoral depuis l'aire du pique-nique du Tabac

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   IMG_2357  mais en regardant de plus près ... QUELLE HORREUR !!!

Des gens viennet faire la fête sur cet aire de pique-nique et oublient de ramener leurs déchets. BAND DE COCHONS

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Un bref regard sur le littoral et nous redescendons par le chemin Bruniquel

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Enfin un peu de couleurs

Le basculement des eaux del'Est vers l'Ouest a permis un peu d'agriculture

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A l'approche du littoral, le paysage redevient sec

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Nous traversons un lotissement et c'est le pique-nique sur la plage de la Saline.

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Quelle belle journée

21 avril 2022

PIQUE-NIQUE PARTAGE : samedi 9 avril 2022

Ce pique-nique partage était très attendu.

Nous avions choisi la Plage de Grande Anse pour nous réunir autour de bons petits plats préparés par nos adhérents.

Certains ont commencé cette journée par ue petite marche : le Tour du piton Grande Anse.

P1260420   Vue de la plage du belvédère

P1260423   Cap la Loi. Au loin Petite Ile

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Certains installent le camp   P1260433

P1260438   d'autres profitent de la mer   P1260442

Les festivités commencent   

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Un peu de musique.  

      P1260451  Janick, notre musicien bien aimé   P1260452

L'ambiance est à la fête

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Certains ont encore faim  P1260465  Ca à l'air délicieux     P1260469 P1260472   P1260473   Les assiettes sont bien remplies.

 Ces plas sont accompagnés de piments frais     

P1260446   Merci Rose      

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Trop mangé Hélène !!!    P1260487

 

Le bal reprend

 

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21 avril 2022

WEEK-END PASCAL à MAFATE : 16, 17 et 18 avril 2022

Nous étions 19 marcheurs pour cette sortie

JOUR 1 : Cilaos, Plateau des Chênes, Bassin Bleu, Taibit, Marla

Le groupe qui a commencé la rando de Cilaos. Ils étaient 14 (il manque le photographe)

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IMG-20220419-WA0004  Bassin Bleu   20220416_093508

20220416_102735  Bassi Fouquet   

 Les 5 autres marcheurs se sont faits déposer sur la route d'Ilet à Cordes au début du sentier Taïbit

P1260532  Le profil du sentier jusqu'à Marla.

De la route, jusqu'au Col de taïbit, il faudra grimper et grimper.

Nous commençons notre ascension dans un sentier en lacets avec des marches assez raides.

Le sentier devient vite ombragé et offre de magnifiques vues sur Cilaos et le littoral.

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A Ilet des 3 Salazes, à la tisanerie, nous buvons une tisane de plantes locales pour nous encourager dans la montée.

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On monte encore      P1260571   

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P1260578    Nous atteignons un replat : le Plateau des Fraises.

 La dernière partie de l'ascension est éprouvante pour certains.

P1260586   L'oratoire : le Col est proche P1260587

      P1260590    Nous arrivons enfin au Col.

Nous y pique-niquons.

 La descente vers Marla ne présente pas de grande difficulté mais il fallait bien regarder où poser ses pieds.

La végétation est changeante. Une petite forêt de cryptomérias nous indique que le village n'est plus très loin.

Nous distingons à peine les maisons de Marla à cause du brouillard.

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Nous attendons les derniers marcheurs dans le bar juste en bas de la descente.

Nous rejoignons le gîte des 3 Roches.

La soirée est festive et le repas (poulet au combava) est excellent.

 IMG_20220416_180055 le Gros Morne éclairé par les derniers rayons du soleil.

 JOUR  2 : Marla, 3 Roches, Paine aux Sables               

Après le petit déjeuner, nous prenons le sentier qui descend à Trois Roches

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Le sentier demande mille précautions. Le sol est instable. Nous marchons sur des roches ou sur des éboulis datant des épisodes pluvieux du début d'année.

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  Et arrive enfin Le site des Trois Roches.

 Baignade aux Trois Roches     P1260680   DSCN2062-17avr2022-s13-o35-rc-r82

 La Rivière des Galets se jette dans une énorme faille ouverte dans une dalle de basalte. Quel spectacle !

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Après le bain et le pique-nique, nous montons vers La Plaine aux Sables par un sentier queque peu ombregé mais raide.   

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 La Plaine aux Sables est un vaste plateau herbeux sans habitation. Autrefois des familles y vivaient mais le cyclone de 1948 a détruit les maisons et les plantations.

   

 Au milieu de ce plateau, nous trouvons une tombe fleurie. : celle de Lucay, de sa femme et de son enfant, décédés lors de ce cyclone.

 

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 Nous nous dirigeons vers le gîte Gravina Martial.

Nous traversons une belle forêt dont le sol est recouvert d'un tapis vert (jouvence de l' Abbé SOURY)

DSCN2154-17avr2022-L-2-s9-exp-2-o30bv-r85 Après la douche, en attendant le repas : causeries, bavardages, rires ...

 JOUR  3 : Plaine aux Sables, La Nouvelle, Col des Boeufs

C'est le départ. Direction La Nouvelle

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Des passerelles pour éviter de marcher dans la boue   

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Nous arrivonsà la magnifique Plaine de Tamarins.avec ses géants tortueux

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Nous arrivons au Col des Boeufs

 

 

Plus que quelques centaines de mètres avant de retrouver le bus

 

 

4 juin 2021

WEEK-END à GRAND COUDE : 12 et 13 juin 2021

Jour 1 : Serré/Sentier Bérénice/Grand Galet/Cap Blanc
Circuit de 14km (A/R) avec un dénivelé positif de 400 m et autant en négatif.
Temps de marche prévu : 6 h

Nous partons du Serré pour rejoindre le village de Grand Galet en empruntant le sentier Bérénice puis nous prendrons le sentier du Cap Blanc.

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Nous traversons un sous bois sombre et humide  P1240820 

puis nous descendons le sentier Bérénice

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Nous traversons le charmant village de Grand Galet et attaquons le sentier qui mène à Cap Blanc

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P1240796   IMG-20210614-WA0006  Bassin Le Pont (arche naturelle)

Après le pique-nique, le retour se fait par le même itinéraire. 

Le bus nous dépose à Grand Coude, au gîte Malmany.

La soirée est joyeuse. Merci à Jean-Jules, Jacky et Jean-Philippe pour l'animation musicale et un bravo aux cuisiniers. Nous nous sommes régalé.

 

 Jour 2 : Grand Coude/Morne Langevin/Pas des Sables

Circuit de 9 km avec près de 1300 m en dénivelé positif. Ce sentier est très sportif.

Le départ se situe près de l’église de Grd Coude. Ce sentier Marron longe d’abord le rempart de La Rivière des Remparts.

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Le sentier est agréable au début IMG_20210612_124900   IMG_20210612_125150   

Puis nous entrons dans la forêt de Grd Coude.

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     Nous grimpons jusqu’au Morne Langevin.

 

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Ce sentier comporte de nombreuses marches et des échelles qui permettent de franchir les barres rocheuses.

Arrivés au Morne, ils nous reste plus que  3km 500 sur un sentier pratiquement horizontal. Si nous avons eu du beau temps dans la montée, hélas, nous terminons cette rando dans la brume et même sous la pluie. 

IMG_20210613_123635  IMG_20210613_130620   IMG-20210613-WA0001   BRAVO à vous.

  

  

 

 

 

4 août 2022

WEEK END Cilaos Piton des Neiges : les 4 et 5 juin 2022

J'étais absente pour ce week-end. Je vous livre queiques photos que les marcheurs m'ont transmises.

Nous avions prévu 2 options pour ce week-end. 

Un groupe restait sur Cilaos et l'autre groupe (composé de très bons marcheurs) devait faire l'ascension du Piton des Neiges.

- Rando à La Chapelle (samedi) :

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- Rando Cascade Bras Rouge le dimanche :

en construction

 

- L'ascension du Piton des Neiges par le Bloc :

 

 

4 août 2022

LE TOUR DE PALMISTE ROUGE : dimanche 31 juillet 2022

Nous débutons cette rando par l"ascension du Piton Morel. Le soleil est avec nous

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sortie du sentier Piton Morel 

Nous empruntons ensuite un sentier qui descend le long du Bras des Calumets. Ce sentier débute non loin du sentier des Calumets qui mêne à Bras Sec et nous mènera à l'aire de piquenique sur la route d'Ilet à Callebasse.

Le sentier est très pentu, étroit et très glissant (sans boue) au début

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Nous admirons de beaux bassins et traversons à gué plusieurs fois le bras de rivière.

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 Après le pique-nique, prenons un sentier qui va vers Ilet Callebasse.puis un second qui nous ramène vers le village.

 

 

 

 

 

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17 août 2022

WEEK-END à ROCHE PLATE : 13 et 14 Aout 2022

La rando débute au parking u Nez de Boeuf. Le soleil est avec nous mais l'air est frais.

Nous trouvons du givre au sol par endroit.

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Nous remontons le long du rempart de la Rivière des Rempart. Petit arrêt au Belvédère

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   Tamarin des hauts en fleurs.

 

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Nous descendons prudemment. Le sentier est abrupte et nous devons éviter de glisser sur les racines et les roches vermoulues.

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IMG_2047 Un regroupement au Mapou en bas du rempart et nous entamons une longue et douce descente

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Visite d'une grotte

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Un petit groupe rejoint directement le village tandis que l'autre pique-nique au bord de la rivière Beas Carron

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Après la douche, une "réunion" s'impose.

La bonne humeur règne. La soirée est joyeuse

 

 

 

 

 

 

 

Le lendemain matin, 2 groupes se forment. 19 marcheurs descendront le lit de la Rivière des Remparts puis grimperons vers Jean Petit par le sentier de la Prise (Corhymbis)

Les 6 "mauvais" marcheurs prendront un 4X4 pour descendre la rivière et arriveront à St-Joseph ville 

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IMG_2170   Des 4X4 remontent vers le joli village

Ei arrive le sentier de la Prise. Il faut grimper

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 IMG-20220814-WA0002[3123]   Arrivée à Jean Petit.

    Il faut reprendre des forces

 

 

 

 

Des photos du joli village de Roche Plate

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6 mai 2022

MAIDO - GRAND BENARE : dimanche 1 mai 2022

Nous étions 23 marcheurs ce jour et le soleil est présent.

Le trajet en bus nous semble long.  Nous prenons un petit déjeuner rapide à la dernière table de pique-nique de la route qui monte à Maïdo.

Arrivés au Belvédère, nous profitons du panorama sur le cirque de Mafate.

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 Oratoire au début de la montée

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Le sentier du Grand Bord présente l'avantage d'admirer le cirque de Mafate depuis de nombreux endroits.

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Pique-nique au sommet

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Nous arrvons à la Glacière

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IMG_0085   La Glacière est une grotte qui servait de réserve de glace à l'époque de Mme Desbassyns qui aimait offrir des glaces à ses invités.

Les pains de glace de 25 kg étaient transportés dans des gonis et de la sciure ou étaient pilés dans des mortiers et descendus dans des couvertures de laine.

Le esclaves pouvaient parcourir 60 km dans la journée.

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Retour vers le parking

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1 janvier 2015

LE MOT DU PRESIDENT

En ce premier jour de l’année, que convient-il de souhaiter aux adhérents des Jolis Pas, quels vœux parait-il opportun de formuler en leur faveur ? 

Eh bien, pour ma part, je formulerai en priorité le vœu que ceux d’entre nous qui ont des soucis de santé, plus ou moins graves, plus ou moins angoissants, trouvent en eux la force de continuer vaillamment le combat contre la maladie et parviennent si possible à arracher la victoire… Je ne donnerai pas de noms par discrétion et de peur d’en omettre certains auxquels je n’aurais pas immédiatement pensé. Chacun est donc libre de nommer dans son cœur et de tourner affectueusement son esprit vers ceux qu’il connait et auxquels il pense… 

Et puis, bien sûr, je souhaiterai à tous nos vaillants marcheurs, qu’ils sachent faire le meilleur usage de leurs jolies pattes, de leurs petites jambes musclées, de leurs alertes gambettes, afin d’arpenter agréablement et intelligemment le monde, ici, à La Réunion et ailleurs, en d’autres endroits de notre belle planète… En effet, notre globe terrestre a beau être d’une étendue limitée, pour celui qui le parcourt à pied, ce n’est pas l’espace libre qui est prêt d’y faire défaut ! Si, pour les utilisateurs des jets, le monde a considérablement rétréci, pour ceux qui patiemment s’obstinent à mettre un pied devant l’autre, il recèle toujours autant de richesses inconnues et précieuses, des richesses à découvrir et à conquérir pas à pas. 

Outre leurs jambes, je leur souhaiterai aussi, à nos vaillants marcheurs, de bien utiliser leurs yeux et leurs oreilles, d’apprendre à les ouvrir grand pour mieux regarder et entendre, pour bien percevoir tout ce qui mérite d’être vu et entendu. Notre univers quotidien – chacun le sait ! – c’est trop souvent l’agitation et le vacarme, la dispersion dans la futilité et le superficiel, l’éphémère et l’inauthentique, le bruit et l’insignifiance. Alors que la marche, ce ne doit pas seulement permettre à nos corps de se réinstaller dans des rythmes conformes au génie de notre espèce, de nous réapproprier pour les perpétuer des atavismes ancestraux auxquels il serait dommage qu’aujourd’hui nous renoncions, ce doit être aussi pour nous une incitation à prendre le temps, une invitation à la patience et à la lenteur, à l’attention paisible aux choses essentielles.

Nu ar trouv sur les sentiers de Bourbon !

 

André

 

14 avril 2015

Le Mot du Président

 

"le mot du président, c'est le mot du président ....

c’est-à-dire une réflexion personnelle dont il assume personnellement la responsabilité."

 

Une petite boucle dans Mafate à partir de Salazie et du Col des Bœufs. Ce n’est pas très original comme programme, mais c’est toujours plaisant, tout particulièrement pour ceux de notre groupe qui n’avaient encore jamais (les pauvres !) mis le pied dans ce cirque mondialement connu et universellement célébré sur toute l’étendue de notre planète (et peut-être même au-delà). Sur les 25 que nous étions, il me semble en avoir compté 5 ou 6 (les veinards !) qui se trouvaient dans le cas de profiter pour la première fois de ce lieu extraordinaire. Bienvenue donc à ces néo-Mafatais dans la noble confrérie des vieux Mafatais ! 

Pour arriver à pied d’œuvre depuis Le Tampon, nous nous étions psychologiquement préparés à faire plusieurs heures de route. Mais ce que nous ignorions, c’est que, là-haut, nous allions atterrir dans un encombrement si considérable que notre car eut bien des difficultés à nous emmener jusqu’à notre point de départ. La cause de cet embouteillage imprévu ? Un « kabar » qui avait été convoqué à Marla et avait attiré là une foule de jeunes fêtards amateurs de musique. Le parking du Col des Bœufs ayant été de ce fait saturé, beaucoup de voitures avaient dû se garer bien plus bas, tout au long de la route, un peu n’importe comment, parfois obstruant presque le passage… 

Parvenu malgré tout à l’entrée du parking, là où se trouve l’emplacement qui, normalement, permet aux cars d’effectuer commodément leur demi-tour, ce fut pour constater que cet endroit stratégique était bel et bien bloqué par les voitures garées sur toute la surface de cette zone pourtant interdite au stationnement. Plus moyen d’avancer, plus moyen de reculer, plus moyen de tourner ! Nous étions désolés de devoir abandonner notre pauvre chauffeur et de le laisser se dépêtrer de cette situation apparemment inextricable par ses propres moyens. Avant de le quitter lâchement, nous l’avons toutefois gratifié d’un bon conseil : faire appel à la maréchaussée ! 

C’est que, nous autres, nous étions pressés car Mafate nous attendait. Dès que nous avons eu atteint le col, nous avons vu le paysage du cirque se déployer au dessous de nous dans toute sa gloire, resplendissant sous le soleil. Après la descente du rempart, ce fut la traversée de la Plaine des Tamarins avec sa forêt remarquable. Une forêt fantastique même par beau temps (alors imaginez-la dans la brume !) avec ses arbres aux formes extraordinairement tourmentées, aux silhouettes tarabiscotées et tordues en tous sens, comme emportées dans une danse échevelée et sauvage. Une forêt paradoxale dont les troncs enchevêtrés et pointant dans toutes les directions possibles, tendent moins, comme on s’y attendrait, vers la verticale que vers l’horizontale, certains même s’essayant à ramper sur le sol… 

Puis ça a été la descente dans la Rivière des Galets. Là, nous avons trouvé beaucoup de gens qui barbotaient dans l’eau, sans doute dans le but de se remettre des fatigues de la fête nocturne à laquelle ils avaient participé. Nous nous sommes installés près de la passerelle Ethève pour déjeuner au bord de l’eau. Certains, Hugo, Geneviève, moi-même, en ont profité pour aller faire trempette dans l’eau rafraichissante. Puis, sans nous presser, nous nous sommes ensuite dirigés vers la Plaine au Sable, où nous sommes arrivés de bonne heure.

Si le gîte de Martial Gravina, à La Plaine au Sable, a toujours pour lui sa situation exceptionnelle (ses bungalows sont douillettement blottis au creux d’un vallon abrité, entourés de quelques cultures et d’une poignée de z’animaux), je ne suis pas le seul, parmi ceux qui le fréquentent depuis des années, à avoir été déçu par la façon dont nous y avons été « accueillis », ou plutôt « pas accueillis ». Les hôtes semblent s’imaginer qu’ils pourraient se contenter d’assurer à leurs clients le gîte et le couvert et rien de plus. Alors, de leur part, pas un bonjour, pas un sourire, pas un effort pour échanger avec les clients hébergés ne serait-ce que les quelques banalités qu’en pareil cas il est d’usage d’échanger. 

Je me souviens pourtant des soirées animées d’autrefois, du temps de José notre ancien président, quand nous nous serrions tous dans le boucan, pour nous réchauffer autour du feu en attendant le dîner et pour chanter avec le maître des lieux en nous accompagnant d’un tambour. Mais « si vi souviens, comme ça l’est loin », aujourd’hui le gîte Gravina, c’est devenu froid, anonyme, sans âme. Plus de chaleur, plus de boucan, plus de chants… Dommage ! Je ne suis pas sûr, dans ces conditions, d’avoir envie d’y retourner de sitôt…

Mais les insuffisances de nos hôtes en matière d’hospitalité et d’élémentaire courtoisie n’ont pas réussi à compromettre notre bonne humeur et notre dîner s’est déroulé dans une ambiance joyeuse et très conviviale où les rires et les chansons n’ont pas fait défaut. Citons en particulier trois demoiselles qui se sont montrées particulièrement gaies et enjouées : Miguy, Catherine Gouljar et Géraldine. Du bout de la table où j’étais assis, je les entendais à l’autre bout qui s’esclaffaient bruyamment en compagnie d’un Jean-Michel également très en verve. A noter que l’une de celles-ci est affectée d’un mal curieux et très invalidant, la batracophobie ou phobie pathologique des crapauds. Elle a d’ailleurs fait appel à moi pour que je l’escorte entre la salle à manger et son bungalow pour le cas où l’un de ces innocents batraciens aurait décidé – le vilain ! – de dresser sur son chemin une embuscade sournoise !

Le lundi matin, c’est la pluie que nous avons trouvé à notre réveil. Mais, comme je me suis permis de le dire à mes amis : « Pluie du matin n’arrête pas le pèlerin (ou le marin, au choix) ». Il est toujours bon, en effet, de se référer à la sagesse ancestrale telle qu’elle s’est précieusement conservée dans nos vieux dictons et proverbes ! Nous avons donc dû, dès le départ, endosser les anoraks, capes ou ponchos. Par la suite cette pluie a eu le bon goût de s’interrompre pendant d’assez longues périodes, par exemple pendant notre halte à La Nouvelle (la capitale du cirque avec ses larges avenues et ses vastes places où manquent juste les statues équestres), avant de reprendre ensuite de plus belle. Puis ce fut de nouveau la traversée de la tamarinaie, l’escalade du rempart, le franchissement du col et la redescente vers le parking où nous avons déjeuné sous un kiosque (la pluie était de nouveau de la partie) en attendant notre car.

L’un des intérêts de la marche en groupe, chacun de vous a déjà dû l’expérimenter, ce sont les relations avec les compagnons de marche qui, randonnée après randonnée, se nouent et se renouent, se poursuivent et s’approfondissent. Cela passe par ces discussions à bâtons rompus que l’on mène chemin faisant, tout en marchant. Pour ma part, j’ai pu reprendre avec Catherine Guelt une très intéressante conversation, commencée dans une précédente randonnée, sur un sujet qui la concerne directement pour des raisons familiales aussi bien que professionnelle : l’éducation des jeunes sourds. 

J’ai eu aussi un échange linguistique assez pointu avec Anne-Marie, laquelle aurait voulu que je l’éclaire sur la différence existant entre un adage et un proverbe. Un peu pris de court, j’ai néanmoins essayé de faire bonne figure et de ne pas trop la décevoir. Je lui ai pour cela improvisé, tant bien que mal, un petit topo plutôt approximatif sur la question en essayant de définir et d’exprimer les nuances de sens entre ces notions. 

Ce que je mettais surtout en avant, c’était ce que ces deux notions (et les notions voisines : voir l’annexe) ont en commun, par delà ce qui les distingue, le fait d’énoncer des vérités générales, universelles (valables en tout temps, en tout lieu et pour tout un chacun) ; le fait également d’avoir un caractère prescriptif, de se donner comme des conseils plus ou moins impératifs. Rentré chez moi, j’ai consulté mon Littré. Je recopie en annexe, pour ceux que cela intéresserait, les définitions que j’y ai trouvées. Ils pourront constater que tous ces quasi-synonymes sont en fait bien proches et se recoupent en partie. 

Puisque j’évoque Anne-Marie, je tiens à citer, pour que d’autres que moi puissent en profiter, une belle formule traduite de l’anglais que je lui suis reconnaissant de m’avoir fournie. C’est un adage digne de la sagesse antique, d’un optimisme raisonnable et résolu : « Aujourd’hui est le premier jour du reste de ma vie ».

Avant de vous quitter, je vous signale que je serai absent de l’île pendant cinq semaines : je pars en effet, en compagnie d’Hélène, de Jean-Paul et de Mélanie (entre autres), faire un tour en Extrême Orient : Cambodge et Tonkin sont à notre programme.

Je vous souhaite plein de bonnes choses. Nous a retrouve !

André, le 14 avril 2015.

 

 

 

Annexe : définitions du Littré

 

Adage : maxime pratique ou juridique, ancienne et populaire.

Aphorisme : formule ou prescription résumant un pont de science ou de morale.

Apophtegme : parole mémorable ayant une valeur de maxime.

Dicton : sentence passée en proverbe.

Maxime : règle de conduite ou règle de morale formulée de façon lapidaire.

Précepte : formule qui exprime un enseignement, une règle, une recette (art, science, morale, etc.).

Proverbe : vérité d’expérience ou conseil de sagesse pratique et populaire commun à tout un groupe social, exprimé en une formule elliptique généralement imagée et figurée.

Sentence : pensée (surtout sur un point de morale) exprimée d’une manière dogmatique et littéraire.

 

 

29 mai 2015

Aux adhérents des Jolis Pas

 

Aux adhérents des Jolis Pas

 

A la veille de m’éloigner pendant quelques mois de notre île pour rejoindre ma chère Bretagne et visiter ma famille en métropole, je voudrais adresser quelques mots à mes amis des Jolis Pas.

D’abord leur signaler qu’à la suite de difficultés relationnelles notre trésorière (que je remercie pour le remarquable travail qu’elle a accompli tout au long de ces sept dernières années) a quitté son poste. Le bureau de notre association se trouve donc désormais réduit à cinq personnes, moi inclus. Mais j’ai confiance dans le dévouement et l’efficacité des quatre autres membres qui demeurent à leur poste. Je suis sûr qu’ils s’acquitteront au mieux de leur tâche pendant la période qui vient. 

Je pense cependant qu’il serait bon que, dès maintenant, ceux et celles qui se sentiraient aptes à prendre à leur tour des responsabilités dans l’animation et la direction de notre association (nombreux sont ceux qui pourraient à mon avis légitimement y prétendre) commencent à se préparer psychologiquement à nous rejoindre, de façon à ce que, lors de notre prochaine A.G. statutaire, en janvier 2016, l’on puisse procéder à un large renouvellement du bureau, avec un apport conséquent de forces neuves.

Avant de vous quitter, je formule le vœu que les randonnées auxquelles vous participerez durant l’été (ou, si vous préférez, durant l’hiver austral) vous apportent tout le plaisir que vous en attendez, qu’elles se déroulent si possible dans un climat de convivialité et de bonne humeur. Et, selon la formule consacrée, je vous dis : « Nous a retrouve ! Rendez-vous bientôt sur les sentiers ! »

Le président, André Pouchet, le vendredi 29 mai 2015

5 janvier 2015

LE MOT DU PRESIDENT

Notre sortie de dimanche dernier pouvait difficilement être nommée « rando ». Le terme « petite promenade » eût mieux convenu. Du parking des kiosques du Nez de Bœuf jusqu’au Piton Textor, puis de là jusqu’à l’Argamasse et retour au Nez de Bœuf, il n’y a guère en effet que deux heures 1/2 de marche. Mais, c’est un parcours agréable et varié. Et puis, c’est un parcours qui se prêtait bien à la présence à nos côtés de 5 marmailles (Aurélie, Marianne, petites-filles d'Ivan et Paulette, Laëna, sa petite soeur, petites-filles de Mélanie et Emmy).

Nous avons commencé par longer le rempart, au dessus de la rivière du même nom. Avec vue plongeante sur la vallée qui mène à Roche-Plate et à Grand-Coude. Puis, après avoir traversé la route, nous avons progressé sur les flancs du Piton Textor, au milieu des brandes ; arrivés sous les antennes qui le couronnent, le chemin redescend alors sur le petit plateau dont le centre est occupé par un petit étang et que l’on appelle l’Argamasse (au sens propre, une « argamasse », c’était, pour les premiers colons de Bourbon, une surface plane, située en général sur un toit, où faire sécher le café) ; là, nous nous sommes installés pour casser la croûte tranquillement ; la pluie nous a bien un peu inquiétés mais finalement nous avons pu y échapper ; le couvert nuageux a même fini par se dissiper et le soleil par revenir… 

Ce sont Laëna et son amie Emmy qui, pour le retour au parking, ont ouvert la marche. Comme de vraies éclaireuses, elles se sont chargées de la responsabilité de repérer les marques orange balisant notre sentier. Cela m’a donné le plaisir de leur compagnie ; j’ai pu ainsi agréablement profiter de leur conversation et de leur bonne humeur. J’ai même eu la satisfaction de constater qu’elles se déclaraient tout à fait enchantées de leur promenade et très désireuses de renouveler l’expérience en d’autre occasions… 

Revenus au parking, nous avons partagé les galettes de l’Epiphanie en buvant un coup de cidre. Puis certains, dont j’étais, ont tenu à escalader le Piton Nez-de-Bœuf, que l’on atteint, à partir du parking, en une demi-heure à peine. Là-haut, nous attendait un riche panorama : en dessous, vertigineuse, toujours la Rivière des Remparts, en face les rudes pentes dévalant du Commerson, et, tout autour, éparpillés sur les pelouses accessibles à partir de la route, des dizaines de bivouaqueurs et de piqueniqueurs. Je n’aurais pas cru qu’il y en avait autant. 

A bientôt sur les sentiers.

André

 

13 février 2015

Le mot du Président

Une agréable balade aux Makes. Balade classique, régulièrement proposée tous les ans, mais toujours bien accueillie par nos amis randonneurs. Nous étions cette fois-ci 26, dont deux personnes non-adhérentes qui pour l’occasion s’étaient jointes à nous et que je salue à nouveau ici cordialement : Janine Secamed et Marie-Jeanne Huitelec.

Un petit regret cependant : nous avions pensé qu’avec peu de dénivelé à affronter, peu de fatigue à prévoir et beaucoup de choses pouvant capter l’intérêt de jeunes esprits et satisfaire une curiosité juvénile, on le sait, toujours en éveil, ce type de randonnée était bien susceptible d’attirer un certain nombre de marmailles. C’est en pensant à celles-ci, à la cruauté qu’il y aurait à les arracher trop tôt à leur dodo douillet, que nous avions reporté l’heure du départ de 6h à 8h. Et c’est cela qui nous a fait arriver sur le terrain à une heure trop tardive, à une heure où la circulation et le stationnement étaient devenus difficiles, ce qui a considérablement compliqué la vie de notre pauvre chauffeur…

Pourtant, peine perdue, aucune marmaille finalement n’a daigné se joindre à nous ! Alors je crois que, la prochaine fois que nous aurons à programmer ce genre de randonnée, au moment d’ouvrir la liste d’inscription, nous présenterons aux volontaires intéressés deux options : si des marmailles s’inscrivent, le départ sera fixé à 8h ; si aucune marmaille ne s’inscrit, le départ sera fixé à 6h comme d’ordinaire.

Mais revenons à notre marche. Qu’est-ce donc qui fait l’attrait de cet itinéraire ? Et bien la variété des terrains à parcourir et la richesse des paysages à contempler. Au départ, nous avons été contents de retrouver à Fleurs-Jaunes ces aménagements rustiques qui, d’année en année, grâce au travail des emplois aidés, s’étendent et prolifèrent, s’enrichissent de nouveaux sentiers, de nouveaux kiosques, de nouveaux emplacements de pique-nique… Puis nous sommes descendus dans le vallon de Bras-Patate au milieu des massifs de longoses dont les fleurs embaumaient de toutes leurs senteurs sucrées (maudits longoses qui sont pourtant considérés comme une peste végétale particulièrement envahissante !).

Remontés sur l’autre versant du vallon, nous avons débouché sur la plaine de Bois-de-Nèfles. Sur ce vaste coteau autrefois colonisé par des centaines de planteurs de géranium et de vétiver, il ne reste plus qu’une poignée d’exploitations. Traversant les carreaux de géranium, certains sont descendus jusqu’au petit tunnel, dont Ti Yab nous avait dégagé l’accès obstrué par la végétation. Éclairés par nos frontales, nous avons alors pu explorer ce boyau obscur et glissant qui aboutit à une sorte de balcon au dessus du vallon, lequel est, à cet endroit, très abrupt.

Après cette petite digression, nous avons repris notre route vers les hauteurs et nous sommes engagés sous l’épais couvert de cryptomerias. Parvenus au sommet du Piton-Cabris, nous avons commencé à profiter de la vue sur Cilaos. Ensuite le sentier suivant étroitement le bord du rempart et le temps étant toujours bien dégagé, nous avons pu commodément poursuivre nos observations en contrebas : les hauteurs du Dimitile, Palmiste-Rouge, Peter Both, le Sentier Burel, Trois Bras, Ilet-à-Cordes, etc. jusqu’au débouché du vallon de Bras-Patate. Puis, une dernière montée jusqu’à La Fenêtre où nous avons pris notre déjeuner. Trois gouttes d’eau, les seules de la journée (alors qu’au Tampon ils ont été abondamment arrosés toute la journée !) ont alors fait mine de tomber sur nous…

Ensuite descente sans problème dans la forêt par le sentier de la Scierie. Chantale et moi, qui marchions derrière, avons tout au long du sentier récolté de l’oseille (pas de l’oseille au sens figuré et monétaire mais au sens propre et botanique !). Elle avait pour sa part l’intention d’en agrémenter sa soupe de pommes de terre. Moi, j’en ai fait une salade, ma foi fort bonne et que j’ai dégusté avec plaisir…

Avant de clore ce petit billet, je voudrais féliciter Stéphanie, notre nouvelle blogueuse en chef, pour son efficacité sans faille et la rapidité fulgurante avec laquelle elle a, sans aucun délai, mis en ligne les images-souvenirs de cette heureuse journée.

A bientôt pour de nouvelles aventures, toujours plus vivantes, plus pittoresques et plus conviviales.

                                                                       André, le 13/02/2015

15 janvier 2015

LE MOT DU PRESIDENT

Ce fut une sortie difficile, une sortie qui ne s’est pas déroulée conformément à ce qui avait été initialement prévu. L’avant-veille et la veille nous nous étions déjà interrogés pour savoir si, en raison d’une météorologie incertaine, il ne serait pas préférable de l’annuler. Mais, après avoir consulté attentivement les bulletins météos et quémandé les avis éclairés d’autorités reconnues en la matière (à savoir Hélène et Ti Yab), j’ai finalement décidé, samedi midi, de maintenir la sortie.

Dimanche matin, première déconvenue, à l’heure prévue, c'est-à-dire 6 heures, le car Joseph n’est pas au rendez-vous que nous lui avions fixé. Chantale K/ourio appelle alors le chauffeur au téléphone pour le rappeler à l’ordre et celui-ci, prétendant qu’il n’avait été convoqué qu’à 7 h, promet d’arriver dans un petit quart d’heure… Au bout d’une grosse demi-heure, comme il n’était toujours pas là, nous prenons des dispositions pour organiser un covoiturage. C’est alors que le car se présente enfin…

Au fur et à mesure que nous nous élevons sur la route du volcan, nous nous rendons compte que le temps est épouvantable et que, dans une telle tempête, il ne serait pas raisonnable d’effectuer le parcours prévu vers les Puys Ramond. Nous nous arrêtons pour déjeuner au Pas-des-Sables. Le vent est très fort. Il pleut d’abondance. Je mets la question aux voix et, comme je m’en doutais, tout le monde est d’accord pour redescendre. Se pose alors l’éventualité d’un itinéraire de remplacement. Plusieurs hypothèses sont successivement envisagées. Finalement, Ti Yab, fort de sa connaissance approfondie du terrain, nous improvise au débotté, tel un magicien ou un acrobate sans filet, une randonnée de substitution. Seuls les 15 plus déterminés vont le suivre, alors que 4 autres y renoncent et préfèrent demeurer dans le car…

Nous voilà donc partis pour rallier la plaine des Cafres. Au chauffeur, nous fixons rendez-vous au col de Bellevue. Le sentier circule sous les cryptomerias, puis entre les pâtures. Il descend tranquillement, sans rien d’abrupt ni de glissant. Le temps, bien qu’un peu humide, reste tout à fait praticable. Tout le monde parait content de ne pas être venu pour rien et de pouvoir malgré tout se dégourdir un peu les jambes. Y a-t-il rien de plus décevant, en effet, que de partir en montagne pour marcher et d’en revenir sans avoir pu du tout le faire ? C’est comme un chasseur qui, lancé plein d’espoir en quête du gibier, reviendrait à la maison sa gibecière totalement vide !

Conclusion : nous savons bien, nous les Jolis-Pas qui avons quelque expérience de la montagne que, dans ce domaine, il importe avant tout de rester humble et de savoir modestement s’incliner quand il le faut devant des contingences, notamment météorologiques, dont nous ne sommes pas les maîtres.

A bientôt sur les sentiers.

André Pouchet

23 mars 2015

Le Mot du Président

 

Nous étions 17 Jolis Pas pour cette randonnée dans les hauts du Tévelave, une boucle au dessus de la route forestière des Tamarins (actuellement en réfection), passant par le Petit Bénare puis le Piton Rouge. Un itinéraire choisi en remplacement de la randonnée au Malbar Mort qui avait été initialement prévue puis abandonnée en raison d’un terrain rendu trop glissant par les dernières pluies.

Après le petit-déjeuner, lors de mon petit « causement » liminaire, j’ai trouvé bon, afin de motiver un peu nos marcheurs, de leur annoncer qu’au passage nous rendrions visite au roi Phaonce, un légendaire chef de marrons qui hanta jadis ces lieux. Pour rendre plus aguichante encore cette perspective, j’ai ajouté que nous pourrions voir non seulement la caverne dont il avait fait sa demeure mais aussi le bassin où il avait coutume de s’esbattre et de s’esbaudir en compagnie des plus belles concubines de son harem… Que n’avais-je pas dit là ! Cette petite évocation sensuelle n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd et avait même fait son chemin dans les imaginations les plus libidineuses. C’est ainsi que nous fumes ensuite harcelés par Pascal, lequel, à peu près tous les km, nous demandait avec une impatience croissante et sur un ton de plus en plus lamentable : « C’est encore loin le harem ? ».

Nous avons progressé vite par le sentier Mario qui monte tranquillement sous les arbres, coupant hardiment les lacets d’un chemin forestier par trop lambin. Après les tamarins, ce furent les brandes dont beaucoup malheureusement, il y a déjà un bon bout de temps de cela, ont brulé et qui n’offrent plus désormais aux regards que des branches aussi nues et dépouillées que des bras de squelettes. Parvenus au Petit Bénare, nous n’avons pas eu la chance de pouvoir contempler Cilaos en contrebas, la nébulosité alors trop importante n’ayant pas consenti à nous le permettre. 

Nous passâmes ensuite devant ce qui, selon certaines conjectures, a peut-être été la tombe du grand chef marron : un carré délimité de façon grossière par des galets inégaux, où des forestiers, naguère, ont trouvé des ossements et où des mains pieuses, aujourd’hui, ont placé un petit crucifix et deux statuettes de guerriers malgaches. Quant aux belles naïades, ceux qui voudraient les poursuivre devront aller les rechercher jusque dans l’imagination de Pascal où elles se sont réfugiées. Parvenus là, il leur faudra encore les lui disputer âprement, car je ne suis pas sûr qu’il soit prêt, l’égoïste, à partager son précieux trésor avec le premier venu !

Nous avons fait halte pour déjeuner au pied du Piton Rouge. Un piton qui mérite bien son nom car son sol est effectivement écarlate. Nos marcheurs, les uns avant de se mettre à table, les autres après avoir pris leur repas, ont tour à tour escaladé ce petit cône volcanique. Au sommet, ils ont pu bénéficier, outre d’une vue panoramique sur la région, des œuvres du sculpteur « pays », Gilbert Clain. Il y a là, de sa main, deux petits groupes en haut relief, assez rudimentaires il faut bien le dire, ainsi qu’une accorte cafrine, représentée dans une posture allongée et contorsionnée, dont les cuisses très imposantes ont fortement impressionné notre Chantale. 

Ce fut ensuite la descente sur un chemin raviné, creusé d’ornières perfides et tout hérissé de cailloux acérés, lequel a mis nos chevilles et nos genoux à rude épreuve. Retour alors à l’étage forestier. A l’avant-garde, au dessus des tamarins, des acacias en fleur. Puis la route fraichement bétonnée et encore en travaux, par laquelle nous allons regagner notre point de départ au prix de 5 km de marche. La progression est facile, un peu monotone, mais la tamarinaie est magnifique et ceux qui, comme moi, avaient songé à se munir d’une poche, ont pu faire une ample moisson d’oseille sauvage dont ils pourront ensuite se régaler. 

Le temps nous aura été clément : pas trop chaud mais, à part quelques gouttes dans les derniers mètres, sec cependant. Nous serons donc surpris de découvrir en descendant vers les bas que ceux-ci avaient été arrosés par d’abondants orages. Avant de conclure en vous lançant le rituel « A bientôt sur les sentiers ! », il me faut féliciter notre benjamine, la jeune Kélia, laquelle, du haut de ses neuf ans, nous a donné l’exemple d’une marcheuse infatigable, toujours en tête de la colonne. Sûr qu’avec les années, celle-ci deviendra une grande championne.

                                                                                                                                                                                     André, le 23/03/2015

 

6 septembre 2015

Fête de la Randonnée

FETE DE LA RANDONNEE 2015

 

Le dimanche 20 septembre a lieu la fête de la randonnée, à la Plaine des Palmistes.

Nous vous proposons de participer, aux 15 ou aux 8kms, inscriptions avant le 14 septembre, par mail.

 

Merci de lire la présentation ci-dessous

PRESENTATION___La_F_te_de_la_Randonn_e_P_destre_au_c_ur_des_Pitons

 

En espérant vous compter nombreux à participer,

 

18 octobre 2020

De Cilaos au Dimitile

Les 5 et 6 septembre 2020 : LE DIMITILE

- Un groupe de bons marcheurs a rejoint Cilaos à Dimitile en passant par Kervéguen

                      Un grand BRAVO à ces marcheurs qui ot fait tout le trajet sous la pluie et dans le froid

- Un groupe de petits marcheurs ont rejoint Le Dimitile par le sentier La Chapelle/Boeuf (toujpours sous la pluie)

Le lendemain, nous avons tous emprunté le sentier Mal au ventre sous le soleil.

8 mars 2022

6 février 2022

Dans notre calndrier, il était prévu une rando : du Domaine Vidot au Domaine du Relais.

Fin janvier, une reconnaissance de ce sentier a été faite. Ce sentier est, en partie, envahi par la vigne maronne, le rendant impraticable.. 

Nous avons donc décidé de remplacer ce sentier par Le tour de la Forêt de l'Etang-Salé (mer, galets et forêt).

Cette rando a été annulée pour cause d'alerte cyclonique.

2 juin 2021

Du RELAIS PTITE iLEà NOTRE DAME de la Paix : 6 décembre 2020

Cette sortie commence  au Relais Petite Ile. Le sentier commence à travers des champs de culture.

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   Une partie du sentier devient difficile car le raisin marron l'envahit.

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P1240074   P1240073

Nous arrivons sur la route de Notre Dame de la Paix (Fôret du Haut Monvert) 

Le retour se fait par le même itinéraire   

 

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